« Au pied du Fujiyama” – Extrait
“Tu connais cette sensation ? Pénétrer la première fois dans un vieux silence, plonger ton jeune corps rempli de rêves dans un vieux silence de graisses de machines ; tes jeunes seins et ton jeune sexe enveloppés de poussières dormantes ? Tous tes poils se dressent, tes poils et ceux de tes ancêtres, tu es soudain aussi velu(e) que les trois chiens qui t’accompagnent parce que l’avenir et la mémoire se frottent l’un à l’autre et font de toi une flamme parfaite.”