Sud-Ouest« Un ton pétillant et un rien dérisoire. »
Le Matricule des Anges « Jean Cagnard transforme le prosaïque, le banal, le fastidieux en récit picaresque, mâtiné tout à la fois de réalisme, de fantastique, de surréalisme. […] Il désobjective le quotidien par des formulations, des descriptions de situations magnifiquement alambiquées où le cocasse rencontre le merveilleux, le tragique côtoie l’espérance et la foi en lui-même et en l’homme. Phrase de plus en plus rythmées, cadencées : la narration se fait poème. »
Rambouillet , Librairie Labyrinthes« Rien ne nous préparait au choc que provoque L’escalier de Jack, sans doute l’un des plus grands romans de cette rentrée littéraire 2012, et à coup sûr l’un des plus importants dans la littérature française de cette dernière décennie. […] Gageons que dans quelques décennies les lecteurs s’extasieront encore sur cette incroyable musique littéraire, sur ce parcours, et sur cette direction qui nous est donnée. ».
Page des libraires « Formidable hommage à la classe ouvrière, à la liberté, à la littérature, à l’écriture spontanée et à la lecture, œuvre d’une grande poésie, oeuvre réellement drôle et (im)pertinente, œuvre de dérive assumée et souhaitée, L’escalier de Jack mène, marche après marche, au plaisir ultime de la lecture, celui qui donne au lecteur l’envie de différer indéfiniment l’instant de la dernière page. […] Cet escalier est inclassable. Et bien tant mieux ! Tenons ensemble la rampe, gravissons ensemble ces marches d’où résonne encore le pas de Jean Cagnard, d’où résonne encore sa libre écriture, gravissons, observons et savourons… »
TGV Magazine « Jean Cagnard retrace avec humour et grandeur la trajectoire d’un môme normand carriériste de pas grand-chose. […] On l’accompagne volontiers, bercé tant par sa vigueur d’esprit que par les fulgurances stylistiques de son auteur. »
Sud-Ouest « Un livre passionnant, plein de trouvailles, d’humour… de colère aussi et d’une inconsolable tendresse toujours refoulée pour un père taiseux et une mère maladroite. Riche en métaphores, en assonances, cette écriture flirte avec une poésie décapante, joyeuse et pourtant profonde […]. Un livre qui fait du bien et qu’on a envie de défendre et de partager. »
Le Midi Libre « Avec justesse, finesse et sens du détail, Jean Cagnard démontre comment la récolte des salades ou le maniement de la truelle peut former un authentique écrivain. »
Le Perche « Un livre à savourer d’un seul tenant. »
Ouest France « Gagner plus ? Ce n’est pas le genre du personnage qui découvre les livres. Plutôt que de gravir les échelons, il préfère dévaler les escaliers dans un récit de sa jeunesse réinventée. »
Site librairie-ptyx.be « L’escalier de Jack est un superbe chant à la liberté. Celle d’un homme en refus. Dont le non qu’il prononce semble une évidence renforcée par des phrases construites toutes autour d’un vous qui renvoie à nos propres acquiescements. […] L’escalier de Jack montre qu’au lieu de s’enchaîner dans l’illusion d’une montée de “l’échelle sociale“ dont les premiers échelons sont sciés depuis longtemps, […] il est plus joyeux et grisant de vivre comme si l’on dévalait des marches. Dans une tendresse un peu brute. Et dans l’humour.»
La Vie « Le regard du personnage est décalé, ironique, révolté, résigné, mais toujours drôle tout en restant empreint d’une grande tendresse. De celle qui englobe le pire et le meilleur dans un même élan vital. […] Ce roman n’évoque pas tant une génération perdue qu’un optimisme indécrottable envers ce que peut nous réserver la vie. Pour peu que l’on ait le courage de suivre sa route. »
Télé 7 jours « Ce livre est une ode au courage, d’une drôlerie féroce et d’une puissante beauté. »
Librairie Le Haut Quartier, Pézenas « L’écriture de Cagnard est unique, pensée au millimètre, rythmée en musicien, d’un humour absurde et amer qui n’enlève jamais la grande sensibilité rêveuse du bonhomme. Un bonheur de lecture, à la fois désabusé et lumineux, qui vous laisse quelques centimètres au-dessus du sol. »
Site Danactu-résistance « Notre premier coup de cœur de cette nouvelle rentrée littéraire va au roman de Jean Cagnard. N’ayons pas peur de l’avouer son roman nous parle, et nous parle bien. […] Cagnard touche juste, avec finesse et sens du détail. […] La lecture de ce roman déclenche chez le lecteur maintes évocations, songes, rêveries. […] Il y a une petite brise qui passe dans ce roman, une petite musique pleine de tendresse et d’humour, une petite brise musicale à la Salinger. Un Salinger qui aurait croisé Kerouac “in the road“ en France, la guitare à la main. La belle surprise de cette fin d’été. »
Site Shangols « Ce roman décalé est très original, sensible et drôle, touchant et modeste. L’imaginaire de Cagnard, on le sait depuis ses premières pièces, ne doit pas grand-chose à qui que ce soit : l’auteur est unique, pas du tout enfermable dans des cases. […] Cagnard a sa voix propre, voix intime et mélancolique, insaisissable et savoureuse, enfantine et puissante, qui fait que ce roman est un très grand moment. Sur la découverte de la lecture, on a rarement vu de livre plus juste ; et de toute façon, on tombe rarement sur un auteur aussi singulier et touchant. Conquis.
»
Blog La Boulivrique « Ce livre respire la jeunesse et la vitalité. […] Du premier travail à l’activité finale de poète, il y a le cheminement d’un homme qui donne des coups de pied dans les fourmilières avec un joyeux enthousiasme, démasquant la bêtise de l’ordre établi. […] Jean Cagnard balaye le monde avec l’humour d’un désespéré. »
Librairie Préambule, Cassis « Un petit bijou de la littérature française. […] Le titre lui-même est une référence à un poème de Ginsberg sur Kerouac, et prend tout son sens dans la conclusion sublime du roman. […] S’approprier en transformant, adapter en innovant, respecter tout en personnalisant, voilà la profession de foi de
L’escalier de Jack, excellent roman qui comptera certainement parmi les plus belles réalisations littéraires de la rentrée, et plus généralement dans l’histoire de la littérature française. »
Lire la suite
L’Alsace « On monte avec délectation ce surprenant Escalier de Jack. »
Blog racines.canalblog.com « C’est surtout l’écriture de Jean Cagnard qui séduit. C’est une écriture en liberté, mouvante, vivante. On sent qu’il y a un amour immodéré des mots et des livres. […] Jean Cagnard trace sa route toute personnelle dans la langue, une langue légère, rythmée, imagée, poétique, vagabonde. C’est infiniment juste, et infiniment drôle. […] C’est beau, touchant, drôle, poétique. »